Je m’ennuie de toi, de ton corps, de ta peau sur moi, de ton souffle, de ta bouche, ta tendresse, ta façon à toi de me prendre dans tes bras fort fort fort avec toute ton âme.
Pas comme l’autre là qui s’en fout qui prend mon corps comme une guenille et qui me met sa graine dans l’anus comme si je n’étais rien pour lui comme si je n’étais rien et qui se fout de mon fucking bien être et qui se fout de ma gueule et qui me met la graine dans la gorge et m’étouffe avec sa queue comme une poupée de chiffon chiffonnée et jetée aux poubelles qui ne mérite pas d’être aimée mais d’être jetée.
Je ne sais pas quoi faire j’ai peur d’ennuyer les gens avec ça et j’ai peur de ce qu’ils pensent de moi et j’ai peur de me relaisser faire je veux juste me laisser faire par toi et personne d’autre juste toi mon beau poivré salé pimenté …
Mais quand il m’a prise qu’il était dans moi sans que je le veuille, dans le mauvais endroit, la mauvaise sensation, j’étais mal dans mon corps, j’ai serré les dents j’ai essayé d’aimer ça pour ne pas sentir le malaise.
Je me suis collée contre lui pour sentir l’amour, mais je n’ai rien senti.
Il s’en foutait comme quand il me rentrait son pénis dans la gorge et que j’étouffais et qu’il continuait et qu’il me sodomisait sans ma permission sans mon accord sans le désir de m’écouter sans moi, sans mon âme.
Il ne comprendra jamais comme il m’a fait mal dans ma tête, dans l’incompréhension du passé, des actes de cave qui l’ont poussé à agir comme un osti de cave et d’absence d’amour et de respect à mon égard et d’absence de tout et d’absence d’amour, absence d’amour et absence de moi.
Sur ma Presqu'île 